Sortie de mon dernier livre le 27 juin prochain: 

 


 
La photo de couverture? Je l'ai prise prise à Bénarès.Elle est symbolique: tout d'abord une séquence essentielle s'y produit pour le personnage principal en quête d'un "nettoyage" de son destin.ensuite parce qu'elle comporte des éléments connotés:-un oiseau qui apporte un message funeste ou bénéfique

               -un petit bout de barque qui indique que nous avons à conduire notre chemin de vie ,quel soit notre destin

               - le soleil levant qui indique l'énergie qui est à notre disposition et nous rappelle que nous vivons dans un univers à comprendre et qui existe avant nous et après nous, que nous devons respecter
 

Qu'en est-il alors donc du sujet de ce livre que je viens d'écrire pendant trois ans et que je propose?

D'abord quel son genre littéraire? Entre fable et autofiction 

Quel but je poursuis? Parler de notre destin en parlant d'un destin personnel et d'une histoire familiale réelle et romancée. Évoquer le viol et l'inceste et s'il est possible d'en sortir pour ceux qui ont été blessés.

Rappel:  qui écrit à la liberté de son expression mais aussi 'l'étrangeté" d'être le seul à parler et de ne pouvoir sortir de ce fait: l'écrivain, le lecteur ont chacun  un parcours de vie unique donc l'écrivain sera toujours un incompris- c'est à dire un être que lui seul peut tenter de comprendre et comment faire en écrivant et lisant pour l'assumer.Mais écrivain et lecteur écrivent aussi en duo: l'auteur propose son texte et le lecteur a seul le pouvoir de l'interpréter, c'est lui qui lui donne vie- un fait qui seul est hors fiction mais réel - ce qu'il gardera ou pas dans son être de sa lecture.Sans le lecteur et ceux qui  parlent du livre on n'est pas dans la réalité. grand merci aux lecteurs sans eux notre travail d'écrivain ne prendrait pas corsp.

Enfin avec mon histoire le narrateur interpelle: comment le viol,les incestes  la prédation peuvent-ils un jour cesser dans une histoire familiale et dans nos sociétés, alors qu'ils se répètent depuis l'aube de l'humanité. Des pas sont faits certes  ce dont témoigne Metoo jusqu'aux commissariats et aux tribunaux qui se réveillent enfin après avoir bien souvent fait la sourde oreille, c'est un premier pas mais c'est toute une éducation des mâles qui restent à faire, les mamans pour que leurs filles se défendant et que leurs garçons apprennent le respect et non la prédation.L'école, les médias doivent aussi avoir leur part.


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